PATRIMOINE
Eglise et Chapelle
Eglise Saint-Pierre Saint-Paul
Eglise St-Pierre - St-Paul (rue notre Dame) : sa construction date du XVème-XVIème siècle dans le style ogival flamboyant. Bombardée en 1914, elle est reconstruite avant de subir un nouvel assaut des bombes allemandes durant la seconde guerre mondiale. Elle est classée monument historique.
Chapelle et fontaine Notre Dame
Chapelle et fontaine Notre Dame de Grâce (propriété privée-bois de la Chapelle) : un ermitage construit en 1630 et détruit à la fin du XIXème siècle existait près de l’emplacement actuel de la chapelle (1898). Il était dédié à St Vivien.
Chaque année, le premier dimanche de septembre, un pèlerinage s’y déroule.
La source qui coulait abondamment est aujourd’hui tarie.
Photo Philippe DROSNE
Photo Philippe DROSNE
Monuments commémoratifs
Cimetière militaire
Cimetière militaire (rue du Souvenir français) édifié près de l’hôpital militaire qui accueillait, durant la première guerre mondiale, 700 blessés par jour. Un train arrivait en gare toutes les 30 minutes.
Cette nécropole inaugurée le 24 septembre 1916, rend un hommage bouleversant à tous les soldats tombés sur les champs de bataille de Verdun et de Champagne. 1 313 tombes y sont recensées dont deux datant de la seconde guerre mondiale.
Monument aux morts
Monument aux morts (place Louis Chenu et des résistants revinéens) : cette statue en fonte de fer bronzée, a été érigée en 1922, d’après une sculpture d’Eugène-Paul Benet appelée « Poilu Victorieux ». Elle a été coulée à Sommevoire (52) par les fonderies Durenne. Elle a retrouvé son berceau d’origine, en 2009, pour y subir une restauration.
Statue André MAGINOT
Statue d’André Maginot (rue Aristide Briand) : inaugurée en 1935, elle le représente debout. Sa main droite en appui sur une canne, sa main gauche placée sur les plans de la ligne de fortifications portant son nom. Démolie par les allemands en 1942, elle est refaite à l’identique en 1950.
Statue de Mercure
Statue de Mercure (1890) : provient des fonderies de Tusey (près de Vaucouleurs). Elle trône fièrement dans le parc François Mitterrand.
Stèle accident ferroviaire
Si en vous promenant aux abords de la gare, vous apercevez une stèle du souvenir, c’est parce qu’en 1946, la gare de Revigny est victime d’un drame ferroviaire d’une forte intensité. Un train lancé à toute vitesse percute un train à l’arrêt en pleine gare, faisant 32 victimes et des dizaines de blessés. Les wagons en bois n’ont pas résisté à l’impact d’une rare violence.
Edifices remarquables
Maison Dargent
La maison Dargent est située au 2 avenue du Général Leclerc. Les trois bâtiments qui la composent permettent à diverses associations de pouvoir fonctionner:
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Le bâtiment de droite regroupe 3 logements communaux et un espace dédié aux Restaurants du Coeur.
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Le bâtiment central abrite la bibliothèque municipale.
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Le bâtiment de gauche permet, quant à lui, les répétitions de l'orchestre d'harmonie dans un espace réservé, ainsi que la pratique de la danse par l'association temps-dance dans l'espace réception. Ce bâtiment est disponible à la location pour des repas ou soirées avec un équipement complet (cuisine équipée, vaisselle, tables et chaises) et bien sûr l'accès au parc qui permet de profiter d'un cadre de verdure exceptionnel.
Cadran solaire
Le Cadran solaire (rue Raymond Poincaré) : se situe à l'emplacement de l'ancienne école Maginot des garçons et des filles construite en 1841 et démolie en 1975. Il en parait son pignon. Pendant la guerre 1914-1918, la mairie détruite trouve refuge, au premier étage, de cet établissement.
Hôtel de ville
Hôtel de ville (place Pierre Gaxotte) : entièrement détruit en septembre 1914, il est reconstruit suite au projet de l’architecte barisien Lucien Lehmann (1873-1968).
Un morceau de pilier de l’ancien péristyle se trouve sur le parvis actuel.
Depuis 2021, dans les greniers de la mairie un musée est visitable à la demande, il raconte la reconstruction de la mairie, en 1926, ainsi que de l’église, en 1929, qui avait également été détruite en 1914.
L'Abattoir
Abattoir (rue de l’Abattoir) : construit en 1864 sur l’emplacement d’un ancien lavoir ce bâtiment conserve, durant plus d’un siècle, sa vocation première. A l’heure actuelle, les services techniques de la ville y sont implantés
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